Les GJ vus par Etienne Chouard
Pas de polémique, aucune incitation à la haine de ma part. Ma démarche est avant tout intellectuelle. Je pose simplement le débat. À vous de voir si vous souhaitez exploiter l’idée ou pas.
Quelques pistes à explorer:
Il faut se documenter et s’entourer de juristes. Si on a un juge sous la main, c’est encore mieux. Il doit bien y en avoir un dans toute la France qui serait proche des GJ. Il s’agirait de le trouver et de lui parler de la théorie du “fonctionnaire de fait”. 😉 Quand on veut diriger un pays sans son État, un juge peut désigner des Fonctionnaires de Fait pour qu’ils continuent à faire fonctionner les services publics sans l’État.
Comment faire ? En réalité, il n’y a pas grand chose à faire, puisque la sécession est un principe d’autodétermination du peuple. Il suffit que le peuple dans son immense majorité le veuille et le montre. Le montrer comment ? Par une Déclaration d’Indépendance que vous devez rédiger et que chaque région doit signer. Elle doit être lue de sorte à ce que tout le monde l’entende, partout en France, par la presse, les réseaux sociaux, les médias indépendants. Il faut que ça se sache, pour qu’elle exprime la volonté de la majorité souveraine. Ensuite, le juge intervient. Et chaque région s’organise et résiste, jusqu’à ce que l’État lâche prise. C’est plus ou moins ce qu’on fait déjà, mais d’une façon plus officielle, bénéficiant d’une protection statutaire. Inviter des élus “réellement opposants” à nous rejoindre permettrait, d’une part de les tester et d’une autre de renforcer ce statut. La sécession est la justice suprême des hommes libres qui désigne du doigt, par la seule preuve de son déclenchement, ceux qui continuent à vouloir les enchaîner.
Voilà, j’espère vous avoir un peu éclairés. Maintenant, il faut que des gens qui maîtrisent parfaitement le sujet comme Étienne Chouard s’emparent de cette idée pour la faire vivre.
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Nota Bene: cette vidéo constitue une propriété intellectuelle à portée uniquement intellectuelle (didactique) et qui a trait à mon droit fondamental de liberté d’expression, incluant le débat, le partage d’idées, la volonté de créer etc. Tout corps de l’État français, quel qu’il soit, qui interdirait ce droit à ma personne ou à tous ceux qui partagent ladite propriété, par des mesures de censure ou de condamnation, se rendrait de facto coupable, par la preuve avérée de l’emploi desdites mesures, d’un abus de pouvoir et surtout d’un déni flagrant de démocratie aux yeux des peuples et des nations, d’une violation grave des fondements de la loi et de notre démocratie – si tant est qu’elle soit toujours en vigueur – que sont la Constitution française et La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
La liberté de mon esprit est imprescriptible.