Frédéric Lordon, “Et si on fermait la bourse ?”
“Le paradoxe est double, ce sont les actionnaires qui poussent les entreprises à se financer non pas en émettant des actions comme on le croit mais en recourant à l’endettement et deuxièmement, les marchés boursiers qui ont été libéralisés sous couleur d’encourager le financement par action des entreprises ont produit le résultat exactement inverse de sorte que la bourse se résume en un énorme bazar spéculatif autocentré…” Lordon
Version “Là-bas si j’y suis” le 2 mars 2010 : www.monde-diplomatique.f……