Chapitre 5 — Réchauffement climatique la théorie qui fait son chemin
22 avr. 2018 – En 2005, Henrik Svensmark et Nir SHAVIV démontrent expérimentalement un nouveau principe qui sans remettre en cause l’influence néfaste du gaz carbonique sur le réchauffement climatique, affirme que ce gaz n’en est pas la seule raison, et n’en est pas non plus la plus importante. Il remet en cause par la même occasion une vérité en affirmant que les nuages ne dépendent pas du climat de la terre mais que c’est le climat qui dépend des nuages eux-mêmes crées par le rayonnement cosmique émis par les étoiles. Les statistiques révèlent que depuis une centaine d’année que l’activité solaire a doublée. Il existe deux forces phénoménales en présence dans l’espace intersidéral qui s’affrontent et viennent frapper la terre à la vitesse de la lumière. D’une part le rayonnement magnétique du soleil et d’autre part le rayonnement cosmique des supernovas. Or Les rayons cosmiques de ces étoiles produisent des ions et quand ils pénètrent l’atmosphère, ils modulent les aérosols, ces particules en majeure partie présentent dans l’atmosphère terrestre de basse altitude, et favorisent la condensation des molécules de vapeur d’eau, formant la couverture nuageuse qui modifie le climat sur la terre. Pendant les périodes de fortes activités magnétiques du soleil, les rayons cosmiques des supernovas ne pénètrent que très peu notre atmosphère, il n’y a donc que peu de nuages et il fait plus chaud.