Comment obtenir le RIC en un mois. đ
Pas de polĂ©mique, aucune incitation Ă la haine de ma part. Ma dĂ©marche est avant tout intellectuelle. Je pose simplement le dĂ©bat. Ă vous de voir si vous souhaitez exploiter l’idĂ©e ou pas.
Quelques pistes Ă explorer:
Il faut se documenter et s’entourer de juristes. Si on a un juge sous la main, c’est encore mieux. Il doit bien y en avoir un dans toute la France qui serait proche des GJ. Il s’agirait de le trouver et de lui parler de la thĂ©orie du “fonctionnaire de fait”. đ Quand on veut diriger un pays sans son Ătat, un juge peut dĂ©signer des Fonctionnaires de Fait pour qu’ils continuent Ă faire fonctionner les services publics sans lâĂtat.
Comment faire ? En rĂ©alitĂ©, il n’y a pas grand chose Ă faire, puisque la sĂ©cession est un principe d’autodĂ©termination du peuple. Il suffit que le peuple dans son immense majoritĂ© le veuille et le montre. Le montrer comment ? Par une DĂ©claration dâIndĂ©pendance que vous devez rĂ©diger et que chaque rĂ©gion doit signer. Elle doit ĂȘtre lue de sorte Ă ce que tout le monde l’entende, partout en France, par la presse, les rĂ©seaux sociaux, les mĂ©dias indĂ©pendants. Il faut que ça se sache, pour qu’elle exprime la volontĂ© de la majoritĂ© souveraine. Ensuite, le juge intervient. Et chaque rĂ©gion s’organise et rĂ©siste, jusqu’Ă ce que lâĂtat lĂąche prise. C’est plus ou moins ce qu’on fait dĂ©jĂ , mais d’une façon plus officielle, bĂ©nĂ©ficiant d’une protection statutaire. Inviter des Ă©lus “rĂ©ellement opposants” Ă nous rejoindre permettrait, d’une part de les tester et d’une autre de renforcer ce statut. La sĂ©cession est la justice suprĂȘme des hommes libres qui dĂ©signe du doigt, par la seule preuve de son dĂ©clenchement, ceux qui continuent Ă vouloir les enchaĂźner.
VoilĂ , j’espĂšre vous avoir un peu Ă©clairĂ©s. Maintenant, il faut que des gens qui maĂźtrisent parfaitement le sujet comme Ătienne Chouard s’emparent de cette idĂ©e pour la faire vivre.
_
Nota Bene: cette vidĂ©o constitue une propriĂ©tĂ© intellectuelle Ă portĂ©e uniquement intellectuelle (didactique) et qui a trait Ă mon droit fondamental de libertĂ© d’expression, incluant le dĂ©bat, le partage d’idĂ©es, la volontĂ© de crĂ©er etc. Tout corps de lâĂtat français, quel qu’il soit, qui interdirait ce droit Ă ma personne ou Ă tous ceux qui partagent ladite propriĂ©tĂ©, par des mesures de censure ou de condamnation, se rendrait de facto coupable, par la preuve avĂ©rĂ©e de lâemploi desdites mesures, d’un abus de pouvoir et surtout d’un dĂ©ni flagrant de dĂ©mocratie aux yeux des peuples et des nations, d’une violation grave des fondements de la loi et de notre dĂ©mocratie – si tant est qu’elle soit toujours en vigueur – que sont la Constitution française et La DĂ©claration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
La liberté de mon esprit est imprescriptible.