Jean-Luc Mélenchon face à ses archives dans “adn”, l’émission politique de l’INA
Jean-Luc Mélenchon : « Je peux dire que ma langue m’a coûté cher » Le candidat de La France insoumise est l’invité de «adn», l’émission politique de l’INA. Tanger, l’indignation, l’extrême droite ou sa relation avec Dieu, il revient sur tous ces sujets ainsi que sur la guerre en Ukraine. « Personne ne pardonnera jamais aux Russes », dit-il.
00:00 Le big bang de Jean-Luc Mélenchon 11:13 Les racines de Jean-Luc Mélenchon 25:09 Mentor 34:02 180 degrés 37:08 Zéro pointé 39:54 Face à De Gaulle 43:55 Madeleines 46:25 Alerte verte 49:47 Rencontre Le 16 octobre 2018, le siège de La France insoumise, le parti de Jean-Luc Mélenchon, est perquisitionné dans le cadre de deux enquêtes préliminaires du parquet de Paris. Face à un policier qui lui interdit l’accès aux locaux de son parti, l’élu vitupère : « La République, c’est moi ! ». Confronté à la séquence dans «adn», l’émission politique de l’INA, Jean-Luc Mélenchon esquisse un début de mea culpa : «C’était ridicule, je le sais bien (…) Tout à coup, j’ai été débordé par ce que l’on vivait ! ». Toutefois, sur le fond, il ne lâche rien. « Là, les Russes ont changé l’histoire du monde, l’invasion de l’Ukraine est un grand tournant».
Dans «adn», l’émission politique de l’INA, Jean-Luc Mélenchon assure que «personne ne pardonnera jamais aux Russes » ce qu’ils ont fait en Ukraine, car « on a l’impression qu’ils ont fermé » l’avenir. Au second tour de l’élection présidentielle 2002, Jean-Luc Mélenchon appelle à voter pour Jacques Chirac contre Jean-Marie Le Pen. En 2017, sa consigne n’est pas si claire. Il s’en explique dans «adn», l’émission politique de l’INA. Jean-Luc Mélenchon confesse dans «adn», l’émission politique de l’INA, un anticléricalisme de jeunesse excessif. Aujourd’hui, entouré de croyants, il affirme que «la foi n’a pas besoin de raisonnement, c’est une forme de certitude».